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Foire Aux Quéstions (FAQ)

Voici les réponses à certaines des questions les plus fréquemment posées dans ma pratique par les patients  ayant subi une rhinoplastie primaire ou secondaire :

La rhinoplastie et la septorhinoplastie sont des interventions qui visent soit à donner un aspect plus esthétique au nez, soit à corriger une déviation de la cloison nasale, soit les deux. La rhinoplastie est souvent réalisée chez l’adulte jeune vers 20 ou 30 ans, mais elle peut aussi être réalisé plus tard dans la vie. Certains patients vivent longtemps avec un nez qu’ils n’ont jamais accepté, et la rhinoplastie peut leur apporter un mieux être, quelque soit l’âge. L’esthétique du nez a une place très importante dans le schéma corporel et la rhinoplastie, quand elle est réalisée par un chirurgien en respectant un résultat naturel , peut adoucir beaucoup un visage et réconcilier le patient avec sa propre image.

1 nuit en générale sauf dans le cas des modifications mineures

En général, une anesthésie générale. Dans certains cas, une anesthésie locale est possible.

La rhinoplastie est une intervention peu douloureuse. Dans la majorité des cas des antalgiques simples sont prescrits par le chirurgien et sont suffisants. L’intervention a lieu sous anesthésie générale et vous ne ressentez donc rien pendant l’opération.
Les cicatrices d’une rhinoplastie sont pour l’essentiel invisibles, situées à l’intérieur du nez (endonarinaires). Une petite incision à la base du nez peut être utilisée pour un travail plus fin. Le Dr Yousefpour vous expliquera les possibilités.
Réalisée par un Chirurgien qualifié en Chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique ou habilité à réaliser de la Chirurgie de la Face, la chirurgie esthetique du nez est une intervention de pratique courante et sûre. Comme toute chirurgie des complications sont rares mais possibles, elles sont détaillées dans la fiche d’information et vous seront expliquées lors de la consultation. Le suivi post opératoire est indispensable.

Une rhinoplastie ethnique est une rhinoplastie chez les personnes d’origine africaine ou asiatique par exemple, qui présentent un nez avec certaines caractéristiques. Ce sont des rhinoplasties plus longues et délicates, qui peuvent faire appel à des greffes ou des prothèses pour

Une rhinoplastie de la pointe est une rhinoplastie où le chirurgien esthétique travaille exclusivement la pointe du nez, les orifices narinaires, les cartilages alaires et la columelle. De réalisation délicate, elle nécessite en général une bonne expérience de la rhinoplastie. Le Dr Yousefpour réalise ce type de rhinoplastie de pointe. La technique qu’il utilise permet la visualisation de l’ensemble des éléments de la pointe du nez et un travail précis. obtenir un joli résultat.

Il est possible de réaliser une rhinoplastie médical sans chirurgie dans certains rares cas. Une injection d’acide hyaluronique permet de corriger des disgrâces peu importantes. Il faut bien sûr être habitué aux rhinoplasties pour effectuer ce genre de rhinoplastie médicale. L’injection doit se faire dans un plan anatomique précis pour être efficace et une connaissance très précise de l’anatomie de la face est nécessaire. Le produit se résorbe, il faut donc renouveller la procédure tous les ans.
Le prix d’une rhinoplastie est très variable. Il n’existe pas une mais des rhinoplasties, chacune adaptée à une situation particulière. Les tarifs de rhinoplastie dépendent du type de rhinoplastie, des gestes à réaliser, de son étendue, du type d’anesthésie et de ses tarifs, de la durée de séjour à la clinique et de ses tarifs, de la clinique, du temps consacré, des qualifications du chirurgien et de ses titres…

En général, il est préférable de ne pas réopérer dans les premiers mois car les tissus sont encore enflammés et moins susceptibles de guérir favorablement. Chez les patients dont la peau du nez est épaisse, et en supposant que le squelette nasal est robuste, bien aligné et bien proportionné, attendre 12 à 18 mois est souvent bénéfique car un résultat esthétique favorable est beaucoup plus probable une fois l’œdème et l'inflammation complètement résolus.

D'autre part, de nombreuses déformations post-chirurgicales ne vont pas s’améliorer avec le temps et peuvent même s’aggraver la première année

après la chirurgie, rendant ainsi la correction ultérieure encore plus  difficile. Des déformations squelettiques post- chirurgicales évidentes, comme une torsion importante, un pincement, un effondrement ou une rétraction, sont autant de problèmes qui ne s’amélioreront pas une fois l'inflammation résolue. Chez les patients qui ont une tendance à développer des cicatrices avec contracture progressive, les déformations s’aggravent souvent avec le temps, ce qui rend le traitement définitif de plus en plus difficile, voire impossible.

Dans ces cas la plupart des patients sont invités à reporter la chirurgie de révision jusqu'à ce que le gonflement et l'inflammation aiguë soient résolus (6 à 12 mois selon les cas) et pas plus longtemps.

En résumé, chaque cas est différent, et bien qu’en général attendre une résolution de l’inflammation soit judicieux, le report systématique de la chirurgie de révision à 12 mois n’est pas toujours justifié. La décision de réopérer devrait être faite conjointement avec le patient en tenant compte de tous les facteurs de risque et du pronostic d'amélioration.

Deux éléments sont essentiels pour produire un résultat de rhinoplastie favorable : un contour squelettique esthétiquement agréable et un support squelettique durable pour maintenir ce contour  de façon stable et  à long terme. Ces deux objectifs nécessitent généralement le réarrangement et / ou le renforcement du squelette nasal existant avec des greffons de cartilage. Par exemple, une pointe du nez large et tombante doit être soulevée et rétrécie pour atteindre un contour nasal plus attrayant. En allongeant et  en renforçant le cartilage de pointe existant à l'aide de tissu cartilagineux supplémentaire, un contour robuste et élégant est ainsi atteint. Cependant,  l'intégration  invisible de greffes de cartilage dans la pointe du nez existante est une forme d'art qui prend des années à maîtriser et nécessite la disponibilité adéquate de ce cartilage. Bien qu'un greffon de forme non adéquate ou mal positionné puisse parfois gâcher le résultat esthétique, son utilisation  appropriée reste néanmoins un outil indispensable dans la chirurgie esthétique nasale. En effet, dans la chirurgie de révision nasale, les greffes de cartilage sont presque toujours nécessaires afin de remplacer les composants endommagés ou perdus du squelette nasal.

Chez les patients ayant la peau nasale d'épaisseur moyenne, les petites imperfections du squelette nasal sous- jacent restent cachés et sont difficiles à détecter. Cependant, chez les patients avec une peau très fine, même les plus petites imperfections squelettiques peuvent devenir visibles et gâcher le résultat esthétique. Pour cette raison, les candidats à la rhinoplastie ayant une peau fine sont considérés parmi les plus difficiles pour la chirurgie esthétique nasale. Cependant, cela ne veut pas dire que le patient à peau fine ne peut pas obtenir un résultat esthétique satisfaisant. Avec le remodelage minutieux et précis du squelette nasal, couplé au placement sécurisé de greffes de cartilage soigneusement sculptées, on peut obtenir une apparence lisse et bien proportionnée. Dans certains cas plus difficiles, des greffes supplémentaires de tissus tels que le fascia temporal, le périchondre, ou encore le derme peuvent également être placés sous la peau afin d’augmenter son épaisseur, camoufler des irrégularités sous-jacentes, dans le but d’améliorer le résultat esthétique.

Une rhinoplastie "fermée" fait référence à un accès chirurgical limité dans lequel toutes les incisions chirurgicales sont cachées au sein de la narine. Bien que certains chirurgiens préfèrent l'approche fermée car elle évite une cicatrice potentiellement visible, celle-ci limite de manière significative l'exposition chirurgicale, ce qui rend difficile, voire impossible, d'utiliser un grand nombre de techniques de rhinoplastie plus efficaces aujourd'hui. En conséquence, de plus en plus de chirurgiens préfèrent maintenant une approche "ouverte", qui relie les incisions à l’intérieur des narines à celle de la columelle (pont cutané entre les narines) afin d’améliorer considérablement l'exposition chirurgicale. La visualisation directe du squelette nasal non seulement facilite la précision du diagnostic, mais elle permet également au chirurgien de modifier et de renforcer le squelette sans interférence des tissus mous sus-jacentes. Cette approche est particulièrement utile chez les patients avec une anatomie nasale difficile, comme lors d’une rhinoplastie de révision complexe où les tissus ont été préalablement modifiées. Bien que l'incision au niveau de la columelle soit d'abord visible, elle résulte rarement en une cicatrice inacceptable pour peu qu’elle ait été soigneusement placée.  Ainsi la cicatrice  est souvent discrète dans les mois suivant la chirurgie. Pour la plupart des individus, les avantages obtenus par l'approche ouverte valent bien le risque limité d'une cicatrice columellaire. De même, l'absence de cicatrice sera peu de consolation si le résultat final de la rhinoplastie est compromis par une mauvaise exposition. Voir aussi: Rhinoplastie ouverte ou fermée

À l’exception de petites retouches et  de procédures mineures, la rhinoplastie est presque toujours réalisée
avec l'une des  deux formes d'anesthésie profonde : la sédation intraveineuse ou l’anesthésie générale. Divers
facteurs, y compris le confort, la sécurité, le coût et la logistique technique, doivent être pris en considération lors
de la sélection du type d’anesthésie.
À mon avis, l'anesthésie générale est supérieure à la sédation intraveineuse (sédation IV) à tous les égards.
Dans la plupart des hôpitaux, le coût est équivalent. Mais contrairement à la sédation IV où les patients peuvent
parfois vivre des évènements désagréables (entendre des bruits ou même ressentir la douleur), pendant
l'anesthésie générale ils sont dans un état de perte de conscience et donc le confort
est inégalé. Bien que les deux options d’anesthésies nécessitent des médicaments, dans le cas
de la sédation IV, l'anesthésiste a une tâche délicate – en effet une dose trop élevée d'anesthésique peut avoir
un effet néfaste sur la respiration du patient; avec trop peu d'anesthésique par
contre, le patient  peut sentir la douleur, devenir  peu coopératif ou même agité pendant la chirurgie.
En revanche, avec une anesthésie générale, l’intubation trachéale par la bouche permet à l'anesthésiste
de maintenir plus facilement un niveau stable d'anesthésie profonde chez le patient, sans les risques de prise de
conscience, de mouvements brusques ou d’une voie aérienne non protégée. En outre, les protocoles
d'anesthésie générale développés spécifiquement pour la chirurgie nasale sont rarement associés à des nausées
post-opératoires ou d'autres effets secondaires courants.
Finalement, le plus grand avantage de l'anesthésie générale est probablement un meilleur contrôle de la tension
artérielle. En maintenant une tension artérielle relativement faible pendant toute la durée de l'opération, le
saignement et le gonflement post-opératoire sont minimisés, l'inflammation et les ecchymoses sont
considérablement réduites.
 
Voir aussi: Sédation vs. Anesthésie générale

En plus d’une technique chirurgicale appropriée, un bon résultat exige une cicatrisation optimale. Toute inflammation prolongée et gonflement excessif des tissus mous peuvent compliquer la cicatrisation et ainsi compromettre le résultat esthétique. Par conséquent, leur contrôle est primordial. Alors qu’un certain degré de gonflement et  d'inflammation sont inévitables, une bonne prise en charge postopératoire immédiate peut minimiser ceux-ci et ainsi optimiser le résultat esthétique. Sans aucun doute, un bon suivi postopératoire est le plus bénéfique dans les premières heures qui suivent la chirurgie, lorsque les tissus opérés sont les plus sensibles à l'élévation de la pression artérielle. Il est important de savoir que de simples gestes comme le port d’une valise ou monter les escaliers, ainsi que la douleur, des vomissements ou tout simplement l'anxiété peuvent causer une élévation de la tension artérielle et  ainsi augmenter le  risque de saignement, d’ecchymoses, de gonflement ou d'inflammation. Le séjour à l'hôpital offre l'avantage évident d’une prise en charge infirmière et permet  l'administration  de médicaments par voie intraveineuse, garantissant de ce fait un meilleur contrôle de la pression sanguine et des effets secondaires éventuels.

En plus d’une technique chirurgicale appropriée, un bon résultat exige une cicatrisation optimale. Toute inflammation prolongée et gonflement excessif des tissus mous peuvent compliquer la cicatrisation et ainsi compromettre le résultat esthétique. Par conséquent, leur contrôle est primordial. Alors qu’un certain degré de gonflement et  d'inflammation sont inévitables, une bonne prise en charge postopératoire immédiate peut minimiser ceux-ci et ainsi optimiser le résultat esthétique. Sans aucun doute, un bon suivi postopératoire est le plus bénéfique dans les premières heures qui suivent la chirurgie, lorsque les tissus opérés sont les plus sensibles à l'élévation de la pression artérielle. Il est important de savoir que de simples gestes comme le port d’une valise ou monter les escaliers, ainsi que la douleur, des vomissements ou tout simplement l'anxiété peuvent causer une élévation de la tension artérielle et  ainsi augmenter le  risque de saignement, d’ecchymoses, de gonflement ou d'inflammation. Le séjour à l'hôpital offre l'avantage évident d’une prise en charge infirmière et permet  l'administration  de médicaments par voie intraveineuse, garantissant de ce fait un meilleur contrôle de la pression sanguine et des effets secondaires éventuels.